Lorsque l’on parle d’autonomie d’un véhicule électrique, il faut d’abord distinguer l’autonomie théorique et l’autonomie réelle car les chiffres diffèrent.

Sachez que l’autonomie théorique, exprimée en kilomètres, est calculée à partir de tests effectués dans des conditions de conduite réelles en laboratoire. Le véhicule, placé sur un banc à rouleaux qui autorise la rotation des roues, est soumis à des conditions de circuits en milieu urbain et extra-urbain. Ces tests correspondent au protocole WLTP (Worldwide Harmonised Light Vehicles Test Procedure), qui signifie « procédure d’essai mondiale harmonisée pour les véhicules légers ». Ici, l’objectif est d’obtenir des données qui correspondent à des conditions réelles de conduite, mais également d’évaluer les niveaux de consommation et de pollution au dioxyde de carbone du véhicule.

Ces chiffres homologués sont un bon moyen de comparer les véhicules entre eux, mais ils restent estimatifs. En effet, de nombreux facteurs influencent l’autonomie des véhicules électriques en conditions réelles, comme la conduite et l’environnement.

Lorsque l’on parle d’autonomie d’un véhicule électrique, il faut d’abord distinguer l’autonomie théorique et l’autonomie réelle car les chiffres diffèrent.

Sachez que l’autonomie théorique, exprimée en kilomètres, est calculée à partir de tests effectués dans des conditions de conduite réelles en laboratoire. Le véhicule, placé sur un banc à rouleaux qui autorise la rotation des roues, est soumis à des conditions de circuits en milieu urbain et extra-urbain. Ces tests correspondent au protocole WLTP (Worldwide Harmonised Light Vehicles Test Procedure), qui signifie « procédure d’essai mondiale harmonisée pour les véhicules légers ». Ici, l’objectif est d’obtenir des données qui correspondent à des conditions réelles de conduite, mais également d’évaluer les niveaux de consommation et de pollution au dioxyde de carbone du véhicule.

Ces chiffres homologués sont un bon moyen de comparer les véhicules entre eux, mais ils restent estimatifs. En effet, de nombreux facteurs influencent l’autonomie des véhicules électriques en conditions réelles, comme la conduite et l’environnement.

L’une des idées reçues les plus répandues sur les batteries des voitures électriques, c’est qu’elles se dégradent rapidement. C’est faux. Aujourd’hui, les technologies garantissent une longévité accrue des batteries dépassant les 20 ans.

Il est d’ailleurs possible de préserver sa batterie en optimisant l’autonomie de son véhicule via l’application de bonnes pratiques faciles à appliquer :

L’une des idées reçues les plus répandues sur les batteries des voitures électriques, c’est qu’elles se dégradent rapidement. C’est faux. Aujourd’hui, les technologies garantissent une longévité accrue des batteries dépassant les 20 ans.

Il est d’ailleurs possible de préserver sa batterie en optimisant l’autonomie de son véhicule via l’application de bonnes pratiques faciles à appliquer :

Pendant longtemps, le manque d’infrastructures était pointé du doigt et rendait difficile les longs trajets à bord d’un véhicule électrique. Aujourd’hui, le réseau de bornes de recharge ne cesse de s’étoffer : il est désormais possible d’accéder à plus de 154 694 points de recharge (chiffres fournis par l’AVERE France au 31 décembre 2024) accessibles au public répartis sur l’ensemble du territoire français (espaces publics, autoroutes, parkings des centres commerciaux, etc.). C’est plus que le réseau de station service ! Et parmi ces points de recharge, on compte 15 % de bornes rapides et ultra rapides qui permettent de recharger sa batterie en environ 30 minutes lors de ces grands trajets.

Dans le même temps, des applications ont vu le jour pour permettre d’anticiper les déplacements. Par exemple, avec Chargemap, il est possible de planifier ses recharges et son voyage en géolocalisant les bornes de recharge à proximité. Ainsi, charger son véhicule électrique au quotidien est devenu un jeu d’enfant, tout comme partir en vacances !

Pendant longtemps, le manque d’infrastructures était pointé du doigt et rendait difficile les longs trajets à bord d’un véhicule électrique. Aujourd’hui, le réseau de bornes de recharge ne cesse de s’étoffer : il est désormais possible d’accéder à plus de 154 694 points de recharge (chiffres fournis par l’AVERE France au 31 décembre 2024) accessibles au public répartis sur l’ensemble du territoire français (espaces publics, autoroutes, parkings des centres commerciaux, etc.). C’est plus que le réseau de station service ! Et parmi ces points de recharge, on compte 15 % de bornes rapides et ultra rapides qui permettent de recharger sa batterie en environ 30 minutes lors de ces grands trajets.

Dans le même temps, des applications ont vu le jour pour permettre d’anticiper les déplacements. Par exemple, avec Chargemap, il est possible de planifier ses recharges et son voyage en géolocalisant les bornes de recharge à proximité. Ainsi, charger son véhicule électrique au quotidien est devenu un jeu d’enfant, tout comme partir en vacances !